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l’impact de la réforme de la fiscalité internationale sur les recettes sera supérieur aux prévisions

l’impact de la réforme de la fiscalité internationale sur les recettes sera supérieur aux prévisions

l’OCDE, Selon une nouvelle analyse de l’OCDE publiée ce jour, les gains de recettes découlant de la mise en œuvre de l’accord historique visant à réformer le système fiscal international seront supérieurs à ce qui était initialement prévu.

La solution reposant sur deux piliers pour résoudre les défis fiscaux soulevés par la numérisation et la mondialisation de l’économie entraînera l’attribution de droits d’imposition supplémentaires pour les juridictions du marché et limitera la concurrence fiscale en établissant un impôt minimum mondial sur les bénéfices des sociétés au taux de 15 %.

On estime désormais que l’impôt minimum mondial proposé se traduira par des gains de recettes annuelles au niveau mondial d’environ 220 milliards USD, soit 9 % des recettes mondiales provenant de l’impôt sur les sociétés. Ce montant est sensiblement supérieur à la précédente estimation par l’OCDE des recettes fiscales supplémentaires générées grâce au volet relatif à l’impôt minimum du Pilier Deux, qui s’établissait à 150 milliards USD.

En ce qui concerne le Pilier Un, qui est conçu pour garantir une répartition plus équitable entre les juridictions des droits d’imposition sur les entreprises multinationales (EMN) les plus grandes et les plus rentables, les prévisions tablent désormais sur l’attribution chaque année aux juridictions du marché de droits d’imposition portant sur environ 200 milliards USD de bénéfices. Cela devrait se traduire par des gains de recettes fiscales annuelles compris entre 13 et 36 milliards USD, sur la base des données de 2021.

Cette nouvelle estimation est nettement supérieure aux précédentes, qui misaient sur la réattribution de 125 milliards USD de bénéfices. L’analyse montre que les pays à revenu faible et intermédiaire sont ceux qui devraient avoir le plus à gagner, en pourcentage des recettes existantes de l’impôt sur les bénéfices des sociétés.

« La communauté internationale a réalisé de solides progrès dans la mise en œuvre de ces réformes, qui sont conçues pour rendre nos régimes fiscaux internationaux plus équitables et leur permettre de mieux fonctionner dans le contexte d’une économie numérique et mondialisée », a déclaré le Secrétaire général de l’OCDE, Mathias Cormann. « La nouvelle analyse d’impact économique souligne une nouvelle fois l’importance d’une mise en œuvre rapide, efficace et généralisée de ces réformes afin que ces gains de recettes considérables puissent se concrétiser. Une mise en œuvre à grande échelle contribuera également à stabiliser le système fiscal international, à améliorer la sécurité juridique en matière fiscale et à éviter la multiplication des taxes unilatérales sur les services numériques et des différends commerciaux et fiscaux afférents, qui auraient des conséquences préjudiciables sur l’économie mondiale et sur les économies du monde entier. »

Ces nouvelles estimations de l’impact économique de la solution reposant sur deux piliers se fondent sur des données mises à jour et intègrent la plupart des caractéristiques conceptuelles récemment adoptées et rassemblées dans le Rapport d’étape sur le Montant A et le Modèle de Règles GloBE, qui, pour bon nombre d’entre elles, n’ont pas été prises en compte dans les autres études.

L’actualisation des évaluations antérieures de l’OCDE, et notamment de l’évaluation d’impact économique publiée en octobre 2020, montre que les gains de recettes prévisionnels au titre du Pilier Un sont en hausse et continuent d’augmenter, en raison non seulement de la révision de la conception de la réforme fiscale, mais également de l’augmentation de la rentabilité des EMN couvertes. Elle met également en évidence une hausse des gains de recettes fiscales prévisionnels générés au titre du Pilier Deux, qui reflète un léger accroissement des bénéfices faiblement imposés à l’échelle mondiale, notamment du fait de l’amélioration du périmètre des données couvertes.

L’analyse souligne que les petits pays et les pays à faible revenu bénéficieraient tout particulièrement de plusieurs des caractéristiques conceptuelles présentées dans le récent Rapport d’étape sur le Montant A.

Les derniers résultats ont été présentés aujourd’hui à l’occasion d’un webinaire. Une analyse d’impact économique complète ainsi qu’un rapport méthodologique détaillé seront publiés au cours des prochains mois.

Des informations complémentaires sur l’évaluation d’impact économique sont disponibles à l’adresse https://oe.cd/eia-fr.

Pour plus de précisions sur l’analyse d’impact économique de l’OCDE, veuillez contacter Grace Perez-Navarro (+33 1 4524 1880), Directrice du Centre de politique et d’administration fiscales de l’OCDE (CTPA), David Bradbury (+33 1 4524 1597), Directeur adjoint du CTPA, ou Lawrence Speer (+33 1 4524 7970) de la Division des médias de l’OCDE.

Coopérant avec plus d’une centaine de pays, l’OCDE est un forum stratégique international qui s’emploie à promouvoir des politiques propres à sauvegarder les libertés individuelles et à améliorer le bien-être économique et social des populations du monde entier.

Déclaration sur la crise mondiale de sécurité alimentaire

Déclaration sur la crise mondiale de sécurité alimentaire

Mme Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), M. David Malpass, président du Groupe de la Banque mondiale, M. Qu Dongyu, directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), Mme Ngozi Okonjo-Iweala, directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), et M. David Beasley, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (PAM), ont publié cette deuxième déclaration commune exhortant à agir immédiatement pour remédier à la crise mondiale en matière de sécurité alimentaire.

La guerre en Ukraine continue d’exacerber la crise mondiale en matière de sécurité alimentaire et de nutrition à cause des prix élevés et volatils de l’énergie, des denrées alimentaires et des engrais, de mesures restrictives sur le plan commercial et de perturbations des chaînes d’approvisionnement. Malgré le fléchissement des cours mondiaux des denrées alimentaires et la reprise des exportations de céréales en provenance de la mer Noire, les prix élevés et les chocs météorologiques privent beaucoup de gens d’accès à l’alimentationLe nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire aiguë dans le monde devrait donc continuer d’augmenter. La volatilité des marchés des engrais persiste, en particulier en Europe, où de nombreux producteurs d’urée et d’ammoniac ont été contraints d’interrompre leurs activités en raison des tensions sur les approvisionnements en gaz naturel et des prix élevés. Ce contexte risque de réduire les taux d’application d’engrais lors de la prochaine saison des cultures, ce qui prolongera et aggravera les répercussions de la crise.

Des progrès considérables ont été accomplis dans les quatre domaines clés que nous avions mis en exergue dans notre première déclaration commune. Le nombre de mesures d’aide sociale annoncées ou mises en œuvre dans l’ensemble des pays a quadruplé, passant de 37 à 148 entre avril et septembre 2022 . Nous saluons les efforts déployés par le Groupe de réponse à la crise mondiale (Global Crisis Response Group) et l’Initiative céréalière de la mer Noire, grâce auxquels plus de 3 millions de tonnes de céréales et de denrées alimentaires ont déjà été exportées en provenance d’Ukraine par l’intermédiaire du Centre de coordination conjoint. Nous jugeons encourageante la tendance à la baisse des mesures commerciales restrictives mises en place par les pays et espérons qu’elle s’inscrira dans la durée. L’aide financière internationale en faveur des pays les plus vulnérables est en augmentation sous l’effet de différentes initiatives. La Banque mondiale met actuellement en œuvre un programme doté d’une enveloppe de 30 milliards de dollars pour lutter contre la crise en matière de sécurité alimentaire et elle veille au décaissement rapide de ressources du guichet IDA-20 de financement de ripostes aux crises. Le FMI propose d’ouvrir, dans le cadre de ses instruments de prêt d’urgence, un nouveau guichet de financement des ripostes aux chocs alimentaires. La FAO a proposé une série de recommandations et lancé des cartographies détaillées des nutriments des sols dans les pays afin d’optimiser l’utilisation des engrais.

Le maintien de la dynamique enclenchée sur ces fronts et le renforcement de la résilience en vue de l’avenir exigeront de déployer une action continue, globale et coordonnée afin de soutenir l’efficacité de la production et des échanges commerciaux, d’améliorer la transparence, d’accélérer l’innovation et la planification commune, et d’ investir dans la transformation des systèmes alimentaires :

1) Soutenir l’efficacité de la production et des échanges commerciaux : Les autorités de tous les pays doivent réexaminer sans délai leurs interventions sur les échanges commerciaux et les marchés agricoles, telles que les subventions ou les restrictions sur les exportations, afin de déceler d’éventuelles distorsions et de les réduire au minimum. Les interventions sur de courtes périodes sont moins préjudiciables que celles prises à durée indéterminée. La promotion de la production d’aliments nutritifs et la réaffectation des 639 milliards de dollars d’aide annuelle que les gouvernements consacrent à l’agriculture peuvent transformer les systèmes alimentaires, et améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition. Le maintien de l’ouverture commerciale dans les secteurs de l’alimentation, de l’agriculture et de l’énergie peut réduire les distorsions des prix qui diluent les mesures d’incitation destinées à améliorer l’efficacité de la production. Les pays doivent donner suite aux engagements pris lors de la 12e conférence ministérielle de l’OMC s’agissant du retrait des restrictions sur les exportations de denrées alimentaires et d’engrais, ainsi que de la mise en place de mesures favorables aux échanges commerciaux. Nous saluons également les précisions apportées aux règlements correspondants afin que des intrants agricoles essentiels, comme les engrais, soient acheminés plus rapidement vers les pays qui en ont besoin.

2) Améliorer la transparence : La surveillance des marchés des denrées alimentaires constitue un dispositif d’alerte précoce à la fois précieux et efficace. Il doit s’accompagner d’un suivi transparent des financements apportés par la communauté internationale afin de faire face à la crise alimentaire. Les autorités doivent fournir les données et ressources nécessaires au bon fonctionnement du système d’information sur les marchés agricoles (AMIS) , qui améliore la transparence sur les marchés des denrées alimentaires en assurant un suivi des prix et de la disponibilité des principaux produits agricoles, et en recommandant des actions aux pouvoirs publics. Par ailleurs, l’ Alliance mondiale pour la sécurité alimentaire (GAFS) vient harmoniser les systèmes de suivi existants sous la forme d’un tableau de bord commun qui permet aux autorités et aux équipes-pays de recenser les besoins et d’orienter les financements afin de riposter à la crise.

3) Accélérer l’innovation et la planification commune : Le secteur de la recherche et du développement dans l’agriculture souffre d’un manque d’investissement chronique alors qu’il offre l’un des rendements les plus élevés sur les dépenses publiques . L’innovation est essentielle pour relever les défis de longue haleine que posent le changement climatique, la dégradation des sols et des écosystèmes, les ravageurs, et les maladies transfrontalières des plantes et des animaux sur les plans de la sécurité alimentaire et de la nutrition. Face à ces enjeux, il importe de diffuser les meilleures pratiques de la FAO et de soutenir le Consortium des centres internationaux de recherche agricole (OneCGIAR). Ces efforts doivent également aboutir à une coordination plus systématique et une planification commune afin de relier entre elles les possibilités à court, moyen et long terme, et d’apporter une aide en temps opportun.

4) Investir dans la transformation des systèmes alimentaires : Il est essentiel sur le long terme de renforcer la résistance des systèmes alimentaires aux risques que posent les conflits, les phénomènes météorologiques extrêmes , les chocs économiques et les maladies. Le bon fonctionnement du système d’approvisionnement en denrées alimentaires nécessite de remédier aux goulets d’étranglement sur les plans tant de l’infrastructure que de l’offre d’intrants (engrais et semences, par ex.). Un soutien concret et durable aux petits exploitants agricoles est indispensable pour veiller à ce qu’ils constituent un élément de la solution et pour ancrer les chaînes d’approvisionnement dans le tissu local. Le secteur privé a un rôle primordial à jouer et la Société financière internationale (IFC) établira une plateforme mondiale pour la sécurité alimentaire, qui fournira des fonds de roulement et des financements de plus long terme aux entreprises viables du secteur agroalimentaire et de secteurs connexes dans la chaîne d’approvisionnement alimentaire. Une meilleure intégration des marchés peut également contribuer à éviter une flambée des prix des produits de première nécessité, ainsi qu’à stimuler la diversification économique et la création d’emplois, renforçant globalement la résilience.

Nous restons déterminés à œuvrer ensemble pour satisfaire aux besoins immédiats en matière de sécurité alimentaire et de nutrition, surmonter des problèmes structurels sur les marchés qui sont susceptibles d’exacerber des effets négatifs, et renforcer la résilience des pays afin de prévenir de futures crises ou d’en atténuer les conséquences.

Hytera participe activement dans la lutte contre le COVID-19

Hytera participe activement dans la lutte contre le COVID-19

Depuis le 9 avril 2020, plus de 1.5 million de personnes dans le monde  ont été atteint du COVID-19, et cela selon les données de l’Organisation mondial de la santé (OMS). En cette période critique, Hytera, en tant que principal fournisseur mondial de réseaux de communication sans fil professionnels et privés, a adopté des mesures immédiates pour assurer des produits diversifiés sous forme de dons et de services de soutien aux pays et aux régions faisant face à l’épidémie du COVID-19. En outre, l’entreprise a demandé à son usine de production intelligente de passer à la production de masques. Effectivement, Hytera  a fait don d’un million de masques pour, les Philippines, la Thaïlande, la Myanmar, la Russie, l’Afrique du Sud et pour d’autres pays.

Pour soutenir les efforts d’intervention d’urgence contre le COVID-19, Hytera a fait don de radios DMR à ChevraHatzalahafin d’aider à protéger leurs volontaires à New York, l’épicentre national de la pandémie du COVID-19. En effet, ChevraHatzalahest la plus grande organisation d’aide médicale d’urgence bénévoles (AMU)au monde, opérant dans 16 pays servant principalement les communautés juives.

L’une des valeurs de base des communications sans fil professionnelles et privées est d’assurer un soutien essentiel de communications, de commandement et de répartition aux gouvernements et aux organismes de première ligne pour aider à assurer la sécurité publique dans les situations de crise.

Au niveau mondial, les solutions commerciales d’Hytera ont été déployées dans plus de 120 pays et régions, et sont utilisées dans les communications privées pour la sécurité publique, les transports, le sauvetage en cas d’urgence et les services d’opérateur pour lutter contre le COVID-19.Actuellement, un grand nombred’hôpitaux et d’autorités de police en Espagne, au Royaume-Uni, aux Philippines et en Corée luttent contre l’épidémie avec le soutien des solutions de communication d’Hytera. À Abou Dhabi, un couvre-feu a été mis en placedans le cadre des efforts de prévention durant l’épidémie. Il est à noter quela police s’est servi des radios multi-mode avancées d’Hytera pour permettre le contrôledes déplacements  des personnes dans les espaces publiques.

De plus, Hytera autonomise les gens dans le but de gérer et de résoudre le chaos généré par l’épidémie du COVID-19, et accorde une protection pour éviter les contaminations croisées entre les agents de douanes menant des inspections frontalières, les responsables gouvernementaux discutant des programmes antiépidémiques et réalisant la supervision, la police surveillant les points de contrôle durant l’épidémie, les organismes de sauvetage déployant du matériel de prévention épidémique et le personnel médical en première ligne luttant contre la maladie.

En tant qu’entreprise manufacturière dotée de capacités de production intelligentes de renommée mondiale, depuis le 10 février, Hytera a rapidement tiré parti de ses avantages d’intégration intelligente de la production et de la chaîne d’approvisionnement dans le but  de mettre en place trois lignes de production consacrées à la fabrication  de masques.

Ainsi, et au-delà des efforts mentionnés ci-dessus, Hytera a également mis en place sa solution de prévention des pandémies qui met l’accent sur le soutien au contrôle des frontalières douanières, à la gestion des hôpitaux et aux inspections d’entreprises, qui seront de retour sur le  marchéaux alentours du 10 avril.

*Source: AETOSWire

Accord en Faveur de la Protection de l’Environnement Marin Entre AMAALA

AMAALA, le projet de développement ultra-luxe situé tout au long de la côte de la mer Rouge en Arabie saoudite, axé sur le « tourisme de bien-être et la vie saine », a signé un accord de partenariat le Vendredi 27 septembre avec la Fondation Prince Albert II de Monaco, le Centre Scientifique de Monaco et l’Institut Océanographique.

La cérémonie de signature protocolaire s’est déroulée à l’Institut océanographique à l’occasion de la soirée de clôture du Monaco Yacht Show en présence de SA le Prince Albert II de Monaco, du Président-directeur général d’AMAALA Nicholas Naples, des membres du Comité consultatif d’AMAALA, de partenaires privilégiés de la marque et d’invités d’honneur. La signature a été suivie d’un dîner de gala préparé par Mauro Colagreco, chef 3 étoiles Michelin.

Le partenariat fait suite à un accord-cadre signé l’an dernier au cours Monaco Yacht Show pour explorer les domaines de collaboration mutuelle possibles. Ensemble, les partenaires travailleront sur des initiatives de recherche et de conservation des océans et la vie marine au profit des océans du monde. Quatre opportunités ont été identifiées pour des projets communs : la gestion des récifs coralliens, la protection des espèces et populations emblématiques, l’application des réglementations sur les Zones de protection marine (ZPM) et la lutte contre la pollution plastique.

Nicholas Naples, Directeur Général d’AMAALA, a déclaré : « Nous sommes très sélectifs quant aux parties avec lesquelles nous choisissons de nous associer, tout comme la Fondation Prince Albert II de Monaco. Leur mission de sensibiliser à la fois les populations et les pouvoirs publics à l’impact des activités humaines sur les milieux naturels et encourager des comportements plus respectueux de l’environnement et promouvoir des initiatives remarquables et des solutions innovantes, fait de la Fondation le partenaire idéal et approprié pour AMAALA. Nous sommes engagés à soutenir un développement entièrement durable tout au long des phases de conception, de construction et d’exploitation du projet, y compris le fait d’avoir une empreinte neutre en carbone dès le début des opérations. Nous avons l’intention de créer une oasis côtière qui non seulement s’épanouit, mais qui élèverait le rôle du tourisme responsable globalement. »

« Les activités humaines ont un impact dévastateur sur l’océan, et grâce à notre partenariat avec AMAALA, nous cherchons à joindre nos efforts et à sensibiliser les populations à cet impact, et à intégrer la préservation de l’environnement et le développement durable au cœur de l’avenir, » ajoute S.E. M. Bernard Fautrier, Vice-Président Exécutif et Directeur Général de la Fondation Prince Albert II de Monaco. « Monaco s’est engagée depuis longtemps à préserver l’environnement, et nous sommes impatients de travailler aux côtés d’AMAALA pour sauvegarder la biodiversité de la Mer Rouge, en prenant des mesures pour l’avenir. »

Professeur Patrick Rampal du Centre Scientifique de Monaco a ajouté : « Nous sommes très heureux de conclure cet accord de partenariat avec AMAALA, ce qui nous permettra d’explorer de nouveaux domaines de recherche innovants dans un lieu encore inexploré. Ce projet nous permettra, conjointement, de mieux comprendre la biologie des coraux afin de mieux protéger leurs écosystèmes. Les récifs coralliens de la Mer Rouge offrent des caractéristiques exceptionnelles, surtout leur résistance aux stress environnementaux, qui seront intéressants à explorer avec nos collègues chercheurs saoudiens.”

L’événement marque le premier partenariat pour le projet AMAALA qui représente une expérience de luxe unique ancrée autour de trois piliers : le tourisme du bien-être et du sport, des activités artistiques et culturelles ; le soleil, la mer et un mode de vie sain. Le complexe d’AMAALA, surnommé par la presse la « Riviera du Moyen-Orient », est dédié au développement durable, basé sur la préservation et l’amélioration de l’environnement, comme éléments primordiaux au succès de ce projet ambitieux. Développer des pratiques de yachting durable sera également l’objectif d’AMAALA. Situé à 2 005 miles de Monaco, ce qui équivaut à six jours de croisière en moyenne, AMAALA est le havre idéal pour les marins chevronnés tout comme les amateurs d’eau pour prolonger la saison de yachting méditerranéen.

La signature de cet accord marque l’aboutissement de la participation au Monaco Yacht Show, où AMAALA a également tenu sa première réunion du Conseil consultatif. AMAALA, qui a participé à la troisième édition du ‘Gala de Monte-Carlo pour l’Océan Mondial’, a accueilli les membres de son Conseil consultatif et un nombre d’invités de choix à la cérémonie. Cet événement de collecte de fonds majeur rassemble des artistes et des philanthropes internationaux pour un diner de gala exclusif en faveur des initiatives mondiales lancées par la Fondation et consacrées à un océan durable. Robert Redford, défenseur de longue date de l’action contre les changements climatiques, a été honoré pour ses contributions mondiales à l’environnement.

Le projet AMAALA fait partie de la Collection de la Mer Rouge, qui, aux côtés de NEOM et le Projet Mer Rouge, a participé au Monaco Yacht Show pour la deuxième année.  La Collection de la Mer Rouge a présenté la côte ouest du Royaume, offrant l’un des paradis immaculés du monde, à une élite de l’industrie des superyachts et aux amateurs passionnés de voile et a également parrainé deux événements clés – Le Sommet du Yacht et le Gala inaugural de Remise des Prix, organisés le 24 septembre.

Vous pouvez téléchargez des images haute résolution de AMAALA ici.

Le texte du communiqué d’une traduction ne doit pas être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui est celle de ce communiqué dans une langue d’origine. La traduction doit toujours être confrontée à la source du texte, qui fera jurisprudence.

Source: AETOSWire

dernières Statistiques sur la dette internationale de la Banque mondiale

dernières Statistiques sur la dette internationale de la Banque mondiale

La dette extérieure des pays à revenu faible et intermédiaire a bondi de 5,3 % l’an dernier, ressortant à 7 800 milliards de dollars, tandis que les flux nets d’endettement (versements bruts moins remboursements du principal) provenant de créanciers étrangers ont fléchi de 28 %, à 529 milliards de dollars, selon l’édition 2020 des Statistiques sur la dette internationale de la Banque mondiale.

Si, en moyenne, le fardeau de la dette extérieure des pays à revenu faible et intermédiaire est resté modéré, la situation se dégrade dans plusieurs pays depuis 2009, souligne le rapport. La part des pays à revenu faible et intermédiaire affichant un ratio dette/RNB inférieur à 30 % a reculé, de 42 % voici dix ans à 25 % actuellement. Le nombre de pays ayant un ratio dette/exportations élevé a en revanche augmenté.

« Beaucoup de pays en développement ont besoin de plus d’investissements pour pouvoir atteindre leurs objectifs et croître plus vite, avertit David Malpass, président du Groupe de la Banque mondiale. La transparence de la dette doit s’appliquer à toutes les formes des engagements publics, y compris aux dettes cachées ou implicites. Il s’agit d’une condition indispensable pour attirer plus d’investissements et assurer une allocation efficace des capitaux, ce qui est au cœur de nos efforts visant à améliorer les résultats de développement. »

L’accroissement de l’encours de la dette s’explique par un bond de 15 % enregistré en Chine, attisé par l’appétit des investisseurs pour les actifs libellés en renminbi. Compte non tenu des dix plus gros emprunteurs du monde (Afrique du Sud, Argentine, Brésil, Chine, Fédération de Russie, Inde, Indonésie, Mexique, Thaïlande et Turquie), l’encours de la dette extérieure a augmenté de 4 %. Les pays d’Afrique subsaharienne (à l’exclusion de l’Afrique du Sud) ont vu leurs stocks gonfler en moyenne de 8 % en 2018 avec, dans plus de la moitié des cas, des encours multipliés par deux depuis 2009.

Les flux nets d’endettement vers les pays à revenu faible et intermédiaire et provenant de créanciers multilatéraux ont bondi de 86 %, sous l’effet principalement du soutien apporté à l’Argentine par le Fonds monétaire international (FMI). Ils sont restés globalement inchangés par rapport à l’an dernier si l’on ne tient pas compte de cette opération. Le rapport note par ailleurs un ralentissement des emprunts alloués par des pays non membres du Club de Paris en direction de pays éligibles à l’aide de l’Association internationale de développement (IDA), le fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres. La part des nouveaux engagements de créanciers bilatéraux non membres du Club de Paris a reculé à 17 % (une évolution qui confirme une tendance à la baisse depuis 2010, où elle ressortait à 43 %) tandis que la part des créanciers bilatéraux du Club de Paris est restée stable, à 12 %.

Cette nouvelle édition des Statistiques sur la dette internationale propose pour la première fois une ventilation entre dette publique et dette à garantie publique — emprunts contractés par le gouvernement ou d’autres acteurs publics ou opérations privées garanties par l’État. Les informations fournies ne concernent donc plus uniquement la dette publique mais bien les passifs éventuels explicites des États.

« Les schémas d’emprunt et les instruments de dette ayant évolué au fil du temps, les statistiques sur la dette internationale se sont adaptées, en approfondissant et élargissant l’analyse, indique Haishan Fu, directrice du Groupe de données sur le développement de la Banque mondialeCe qui n’a pas changé, c’est l’objectif premier de ce rapport : fournir en temps utile des données complètes sur la dette extérieure des pays à revenu faible et intermédiaire en appui à la gestion de l’endettement et aux décisions politiques requises. »

Les émissions obligataires des pays à revenu faible et intermédiaire — qui constituent pour certains une source essentielle de financement — ont chuté de 26 % en 2018, à 302 milliards de dollars, sur fond d’aggravation de l’incertitude mondiale, de durcissement des marchés financiers et de baisse des cotes de crédit. Mais, avec 17 milliards de dollars d’émissions, les pays d’Afrique subsaharienne (Afrique du Sud exclue) ont atteint un niveau record. Deux facteurs caractérisent les émissions de 2018 : elles sont assorties d’échéances plus longues et, dans tous les cas, la demande a été supérieure à l’offre.

Globalement, les flux financiers nets en direction des pays à revenu faible et intermédiaire, qui comprennent les apports générateurs de dette et les prises de participation, ont reculé de 19 % en 2018, ressortant à 1 000 milliards de dollars. Leur volume a cependant chuté de 28 % si l’on ne tient pas compte de la Chine, qui représente pratiquement la moitié des flux nets d’endettement et 43 % des apports de fonds sous forme de participations.

Entretien avec Monsieur Khalil Moussa PDG de la société Sabti Company Ltd.

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Pouvez-vous nous parler de votre entreprise ? 

Nous avons créé notre entreprise en 1991. Après les Accords d’Oslo, nous avons pu enregistrer notre compagnie en 1995 en tant que société commerciale palestinienne. Vous sommez implantés à Beit Sahur, commune voisine de Bethléem.

Nous fournissions des équipements aux hôtels, blanchisseries, cuisines, sociétés agroalimentaires et tout ce qui touche au traitement de l’eau. Nous sommes une petite structure familiale composée de dix salariés. Pour autant, nous couvrons toute la Palestine dans des projets allant jusqu’à un demi million d’euros. Une de nos forces est d’assurer directement le service après vente grâce à nos trois ingénieurs formés en France et en Italie.

Nous travaillons depuis une vingtaine d’années avec des compagnies françaises, belges et italiennes (à préciser, je n’ai rien compris  dans l’enregistrement).

 

Quel regard portez-vous sur les entreprises françaises ? 

Dans le domaine qui m’intéresse, je dirai que la qualité des équipements est importante et reconnue et donc très demandée en Palestine et dans le Moyen-Orient en général. Depuis plus de vingt ans, je constate malheureusement une faiblesse récurrente au niveau marketing des PME françaises. Il n’est pas facile d’y trouver des interlocuteurs anglophones. Elles se concentrent sur le marché français et francophone. Elles ne font pas l’effort  d’aller dans les pays anglophones pour élargir leurs marchés. C’est dommage, elles perdent de nombreuses opportunités. J’en ai d’ailleurs discuté à Lyon avec François Turcas qui en est bien conscient.

Pensez-vous participer l’année prochaine à un salon de ce type en France ?  

S’il est de cette qualité certainement, pour peu que je puisse venir ! Nous avons un problème récurrent, nous entrepreneurs et hommes d’affaires palestiniens, c’est l’obtention d’un visa. Dix entreprises étaient attendues à Futurallia, nous n’avons été que cinq à faire le voyage. Il faudrait que les politiques se penchent sur cette problématique pour faciliter le travail des entrepreneurs qui travaillent à l’international. Le développement de l’Etat de Palestine passe par celui de son secteur privé.

Comment comptez-vous développer votre société ?

Je pense sérieusement développer mon activité en Afrique anglophone.

Dubaï réduit 19% de ses émissions nettes en CO2

Parallèlement avec la tenue de la conférence préparatoire du Sommet des Nations Unies sur le climat 2019 (COP 25) à Abou Dhabi, le Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï a annoncé que les émissions nettes de CO2 à Dubaï avaient diminué de 19% par rapport au scénario de statu quo, et de 10% comme taux inférieur à l’objectif de la Stratégie de Réduction des émissions de carbone 2021, qui consiste à réduire les émissions de carbone de 16% d’ici 2021.

Le Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï surveille les émissions de carbone à Dubaï depuis 2011 grâce à la méthodologie MRV (surveillance, notification et vérification) des Nations Unies. Cette plateforme détaillée centrée sur les données a permis aux décideurs de Dubaï de rationaliser leur stratégie, et s’avère essentielle aux autres initiatives et projets tels que la Centrale Solaire Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le Fonds vert, World Green Economy Organization (WGEO), et les initiatives Shams Dubai et Electric Vehicles.

Les données des dernières années ont enregistré une baisse de la consommation annuelle d’électricité et d’eau par habitant à Dubaï. La consommation annuelle d’électricité par habitant a baissé de 13 626 kWh en 2015 à 11,731 kWh en 2018, elle est prévue d’atteindre 10 538 kWh d’ici 2025. La consommation annuelle d’eau par habitant a diminué de 38554 IG à 33 565 IG en 2018. Elle est prévue d’atteindre 28 455 IG en 2025.

Les Émirats Arabes Unis ont enregistré une amélioration de 60%, ramenant les émissions par habitant à 15,7 tCO2 selon la récente méthodologie MRV compilée, ce qui est bien inférieur au classement américain de 16,5 tCO2 par habitant.

“Nous sommes honorés par ces résultats alors que nous nous aspirons à réaliser la vision de notre leadership avisé. Dubaï a pris des mesures précoces pour préserver les ressources naturelles, augmenter la contribution des énergies propres et mettre en œuvre des plans de développement durable, conformément à nos stratégies adoptées aux niveaux fédéral et local, y compris le Centenaire 2071 des Emirats Arabes Unis et la Vision 2021 des Emirats Arabes Unis. Dubaï a été pionnière en la mise en œuvre de programmes et d’initiatives contribuant à la réduction de l’empreinte carbone, et sa quête pour un avenir plus vert prouve sa validité”, a déclaré SE Saeed Mohammed Al Tayer, Vice-président du Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï.

Les infographies des données de la méthodologie MRV sont prévues d’être rendues publiques lors du prochain Sommet mondial de l’Economie verte qui se tiendra en octobre 2019.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Dubaï réduit 19% de ses émissions nettes en CO2

Parallèlement avec la tenue de la conférence préparatoire du Sommet des Nations Unies sur le climat 2019 (COP 25) à Abou Dhabi, le Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï a annoncé que les émissions nettes de CO2 à Dubaï avaient diminué de 19% par rapport au scénario de statu quo, et de 10% comme taux inférieur à l’objectif de la Stratégie de Réduction des émissions de carbone 2021, qui consiste à réduire les émissions de carbone de 16% d’ici 2021.

Le Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï surveille les émissions de carbone à Dubaï depuis 2011 grâce à la méthodologie MRV (surveillance, notification et vérification) des Nations Unies. Cette plateforme détaillée centrée sur les données a permis aux décideurs de Dubaï de rationaliser leur stratégie, et s’avère essentielle aux autres initiatives et projets tels que la Centrale Solaire Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le Fonds vert, World Green Economy Organization (WGEO), et les initiatives Shams Dubai et Electric Vehicles.

Les données des dernières années ont enregistré une baisse de la consommation annuelle d’électricité et d’eau par habitant à Dubaï. La consommation annuelle d’électricité par habitant a baissé de 13 626 kWh en 2015 à 11,731 kWh en 2018, elle est prévue d’atteindre 10 538 kWh d’ici 2025. La consommation annuelle d’eau par habitant a diminué de 38554 IG à 33 565 IG en 2018. Elle est prévue d’atteindre 28 455 IG en 2025.

Les Émirats Arabes Unis ont enregistré une amélioration de 60%, ramenant les émissions par habitant à 15,7 tCO2 selon la récente méthodologie MRV compilée, ce qui est bien inférieur au classement américain de 16,5 tCO2 par habitant.

“Nous sommes honorés par ces résultats alors que nous nous aspirons à réaliser la vision de notre leadership avisé. Dubaï a pris des mesures précoces pour préserver les ressources naturelles, augmenter la contribution des énergies propres et mettre en œuvre des plans de développement durable, conformément à nos stratégies adoptées aux niveaux fédéral et local, y compris le Centenaire 2071 des Emirats Arabes Unis et la Vision 2021 des Emirats Arabes Unis. Dubaï a été pionnière en la mise en œuvre de programmes et d’initiatives contribuant à la réduction de l’empreinte carbone, et sa quête pour un avenir plus vert prouve sa validité”, a déclaré SE Saeed Mohammed Al Tayer, Vice-président du Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï.

Les infographies des données de la méthodologie MRV sont prévues d’être rendues publiques lors du prochain Sommet mondial de l’Economie verte qui se tiendra en octobre 2019.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Dubaï réduit 19% de ses émissions nettes en CO2

Parallèlement avec la tenue de la conférence préparatoire du Sommet des Nations Unies sur le climat 2019 (COP 25) à Abou Dhabi, le Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï a annoncé que les émissions nettes de CO2 à Dubaï avaient diminué de 19% par rapport au scénario de statu quo, et de 10% comme taux inférieur à l’objectif de la Stratégie de Réduction des émissions de carbone 2021, qui consiste à réduire les émissions de carbone de 16% d’ici 2021.

Le Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï surveille les émissions de carbone à Dubaï depuis 2011 grâce à la méthodologie MRV (surveillance, notification et vérification) des Nations Unies. Cette plateforme détaillée centrée sur les données a permis aux décideurs de Dubaï de rationaliser leur stratégie, et s’avère essentielle aux autres initiatives et projets tels que la Centrale Solaire Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le Fonds vert, World Green Economy Organization (WGEO), et les initiatives Shams Dubai et Electric Vehicles.

Les données des dernières années ont enregistré une baisse de la consommation annuelle d’électricité et d’eau par habitant à Dubaï. La consommation annuelle d’électricité par habitant a baissé de 13 626 kWh en 2015 à 11,731 kWh en 2018, elle est prévue d’atteindre 10 538 kWh d’ici 2025. La consommation annuelle d’eau par habitant a diminué de 38554 IG à 33 565 IG en 2018. Elle est prévue d’atteindre 28 455 IG en 2025.

Les Émirats Arabes Unis ont enregistré une amélioration de 60%, ramenant les émissions par habitant à 15,7 tCO2 selon la récente méthodologie MRV compilée, ce qui est bien inférieur au classement américain de 16,5 tCO2 par habitant.

“Nous sommes honorés par ces résultats alors que nous nous aspirons à réaliser la vision de notre leadership avisé. Dubaï a pris des mesures précoces pour préserver les ressources naturelles, augmenter la contribution des énergies propres et mettre en œuvre des plans de développement durable, conformément à nos stratégies adoptées aux niveaux fédéral et local, y compris le Centenaire 2071 des Emirats Arabes Unis et la Vision 2021 des Emirats Arabes Unis. Dubaï a été pionnière en la mise en œuvre de programmes et d’initiatives contribuant à la réduction de l’empreinte carbone, et sa quête pour un avenir plus vert prouve sa validité”, a déclaré SE Saeed Mohammed Al Tayer, Vice-président du Conseil Suprême de l’Energie de Dubaï.

Les infographies des données de la méthodologie MRV sont prévues d’être rendues publiques lors du prochain Sommet mondial de l’Economie verte qui se tiendra en octobre 2019.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.